dimanche 20 novembre 2011

Péchés Divins (Merry Gentry T 8) Laurell K. Hamilton


Sortie : 19 / 10 / 2011

Vous me connaissez sans doute sous le nom de Meredith Nic Essus, princesse des Fées. Ou peut-être de mon alias : Merry Gentry, détective privée à Los Angeles. Dans le monde des fées comme dans celui des mortels, ma vie est un mélange d'intrigues à la cour et de tragédies de vie de célébrité.
J'ai du affronter des ennemis effroyables, subir la trahison et les mauvaises intentions de mes nobles pairs et honorer ma part du marché en concevant un héritier royal -tout ça pour avoir le droit de monter sur le trône. Mais j'ai finalement tourner le dos à la cour et à la couronne, choisissant plutôt de m'exiler dans le monde humain -dans les bras des mes très chers Frost et Darkness.
Bien que j'ai rejeté la monarchie, je ne peux cependant pas abandonner mon peuple. Quelqu'un tue les fées, la police de Los Angeles est perplexe et mes gardes et moi-même sommes inquiets. Les miens ne sont pas si facile à capturer ou à tuer. En tout cas pas par des humains. Je dois découvrir les tenants et aboutissants à ces meurtres épouvantables, même si cela signifie me confronter à Gilda, la marraine fée, ma grande rivale à Los Angeles.
D'autres faits encore plus étranges se produisent. Les humains que j'ai un jour soignés en utilisant la magie se mettent soudain à réaliser des miracles ; un phénomène choquant qui impacte sur les relations entre humains et fées. Même si je suis innocente, de sombres menaces de bannissement de la magie tournent autour de moi.
Je pensais avoir laissé le sang et la politique derrière moi en quittant mon royaume turbulent. Je rêvais d'une vie idyllique dans l'ensoleillé Los Angeles avec mes amants à mes côtés. Mais il est temps de me réveiller et de réaliser que le mal ne connait pas de frontières et que personne n'est immortel -y compris les êtres surnaturels.
(Trad de Tan)
Source

Enfin j'ai réussi: je suis enceinte d'un héritier de la cour Unseelie. Sauf que je me rend compte que l'amour maternel, c'est autre chose... Voilà que je refuse la couronne et que je m'exile dans le monde des humains. Mais ma tranquillité ne dure pas, malheureusement: des meurtres très étranges chez les demi-Feys m'obligent à reprendre la travail.
(Quatrième de couverture)

Je tiens déjà à m'excuser pour la qualité de ma chronique, mais sa fait plusieurs jours que je bloque dessu, et je n'arrive pas à avancer.

Nous retrouveront Merry, non en tant que princesse et héritière du royaume Unseelie, mais en tant que détective. En effet des meurtres de demi-Fey on lieu, et laissez moi vous dire qu'ils sont vraiment flippant. En effet, le tueur s'inspire d'images issues de compte pour enfant comportant des créatures appartenant à la féerie.
En parallèle Merry et ses hommes sont harcelés par les paparazzis, elle doit suporter les débordement de certains des "sujet de sa cour", et les pouvoirs de Merry et on assiste à une surenchère de puissance, de pouvoir pour certains des hommes de Merry.

Les personnages sont soit fidèles à eux même, soit subissent un tel revirement de situation que ça en deviens grotesque.Je suis encore choquée par un certain personnage, que je n'imaginait pas aussi imbus de lui même, prétentieux, hautin et persuadé de la supériorité des sidhes au sang pur, pourtant on l'avait déjà rencontrer.
J'ai beaucoup aimer retrouver Uther (vers la fin du livre), qu'on avait vu au début du tome un et que j'avais bien aimer.

J'ai nettement moins aimer ce tome que le précédent. Pourtant il y a une intrigue policière (même si on commence à avoir des pistes sur tel ou tel personnage et qu'on se dit "tiens lui il est louche"). Il n'y a pas trop de sexe et la plupart du temps il est utile à l'histoire. L'intrigue est bien menée et on à droit à un peu de politique sidhe.

Citation.
"Les Fir Darrig étaient très anciens, des vestiges d'un royaume de la Féérie antérieurs aux Cours Seelies et Unseelies, ce qui leurs donnait un age ausse avancé que trois milliers d'années au moins. N'ayant pas d'équivalent féminin, ils ne se reproduisaient pas et étaient tout simplement aussi vieux. D'un poins de vue phisyque ils se situaient entre un Farfadet, un Gobelin et un cauchemar ambulant - un cauchemar qui avait le pouvoir de faire croire à un homme qu'un cailloux était sa femme, ou qu'une falaise tombant à pic dans la mer était un chemin sans risque."
Merry

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire