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mercredi 25 janvier 2012

La malédiction de l'Elfe noir (les Highlanders tome 1) de Karen Marie Moning

Après la conclusion du Pacte, le peuple des faë s'est réfugié sur le mythique île de Morar, au large des côtes d’Écosse. A la cour de faërie, la reine Aoibheal, fâchée contre son époux, s'extasie avec malice sur le charme d'un mortel du nom de Hawk, qui a le don de séduire toutes les femmes. Aucunes ne lui résiste, affirme-t-elle. Pas même elle. Ivre de jalousie, le roi Finnbheara convoque son bouffon, Adam Black, et lui ordonne de trouver une femme d'une beauté parfaite, mais indépendante, qui refusera de se laisser séduire par Hawk. Et c'est ainsi qu'Adrienne de Simone est précipitée du XXe siècle en 1513.
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L'histoire est simple, et la quatrième de couverture très bien faite, vous pouvez sans problème la lire, elle ne vous spoile pas et résume parfaitement le début du roman.
Hawk est un homme irrésistible, excellent amant, et de ce fait il attire la jalousie des hommes. Et le roi de faërie, Finnbheara, veux se venger de lui et convoque donc son bouffon, Adam Black pour lui trouver la femme parfaite qui résisterai à Hawk. C'est au XXe siècle qu'il la trouve en la personne d'Adrienne de Simone. Adrienne se retrouve donc catapultée en 1513 dans le château de Red Comyn, qui décide de la faire passer pour, Janet Comyn, sa fille morte puisque, le roi d’Écosse, à obligé Hawk à épouser Janet.

Hawk est le Laird (en gros c'est l'équivalent d'un compte) de Dalkeith upon the sea, et aucunes femmes ne lui résiste, mais on se rend compte assez vite que comme pour de nombreux coureurs de jupons, il n'attend que la femme parfaite pour lui. En effet, dès qu'il se lasse d'une femme, il la quitte pour en prendre une autre. J'aimerai bien vous en dire plus sur lui, mais on en apprend plus sur lui dans la deuxième partie du roman, et comme je ne veux pas vous spoiler...
Adrienne est une jeune femme aigris par les épreuves que la vie lui à apporter. Elle à grandi dans un orphelinat, et est tombée sous le charme d'un homme beau, riche, puissant, tombeur de ses dames, qui lui à briser le cœur et depuis elle voue une haine farouche aux homme et en particulier aux hommes tel que Hawk.

Le réçit est écrit à la troisième personne, et on suit en alternances plusieurs personnages, même si la plupart du temps il sagit de Adrienne ou Hawk.
C'est de la romance paranormale et tout les codes du genre sont respectés. Alors ceux qui s'attendent à une autre version des chronique de MacKayla Lane en on pour leur frais.
L'histoire est simple mais ça marche, on a envie d'y croire, on s'attache aux personnages, gentils ou méchant (qu'on adore détester). Bref j'ai bien aimer.
La quatrième de couverture est suivit du message suivant: "Dés le début de sa carrière, l'auteur des célèbres Chroniques de MacKayla Lane à créer, avec sa série Les Highlanders, les origines du monde mythique des Tuatha Dé Danan. Ce cycle fondateur est le chainon manquant entre les MacKeltar et MacKayla Lane." Sauf qu'il y a un problème là, je ne vois pas du tout le lien entre MacKayla Lane et cette série, serte il y a des Seelies, mais c'est tout. Bon je ne sais pas si ça s'éclaircit par la suite, ou si j'ai juste louper quelque chose pendant ma lecture, mais, j'aurais besoin qu'on éclaire ma lanterne là, parce que moi, ce lien je ne le vois pas.
Je déplore aussi l’absence d'intrigue, le fait que dès qu'il se passe quelque chose, on assiste aussi à là scène du point de vie du méchant et que l'on sache de qui il s'agit au moment même (ou 2 pages plus tard).
Je vais me répéter, mais j'ai beaucoup aimer me plonger dans cette histoire.

Les +: Les personnages, l'histoire.
Les -: L'absence intrigue, de suspense, le fait que je n'ai pas compris le liens entre MacKayla Lane et Les Highlanders

Citation:
"-Pas de baiser, pas de café, répondit-il en haussant les épaules. Vraiment ce n'est pas un prix élevé à payer"
Hawk à Adrienne

"-Grimm... Je n'ai pas de mot pou décrire ce que je ressent pour elle.
-Tu trouve toujours les mots.
-Pas cette fois, ce qui est le signe que je suis dans un sacré pétrin dont je ne sortirai qu'en séduisant ma femme. Tu crois que j'ai été envouté?
Sans attendre de réponse, Hawk se retourna pour entrer dans la chambre d'Adrienne. A la porte qui se refermais, Grimm murmura:
-Tu l'est mon ami. Si l'amour peut être mis en flacon ou se transmettre par la flèche de Cupidon."
Hawk et Grimm

mercredi 31 août 2011

Fièvre fatale (Les chroniques de MacKayla Lane T 4) Karen Marie Monning


 À la merci de mes ennemis, je lutte pour survivre, c'est-à-dire, en l'occurrence, pour ne pas tomber sous le charme fatal de celui que je me suis juré de tuer... Mais je sens que je perds la bataille, que les frontières entre notre monde et celui des Faës sont en train de céder. Je sens que j'entame le combat le plus difficile de ma vie. Je ne laisserai pas tomber. Je sais que j'ai des alliés, et, plus important, la mémoire de ma soeur assassinée à défendre. Saurai-je faire face à la vérité ?

Note 10 / 10


Comme ma note peut vous le faire remarquer ce livre a été un véritable coup de coeur pour moi, j'avais déjà  adorer les tomes précédant, et bien celui-là je l'ai encore plus aimer.

Nous reprenons l'histoire au moment où elle s'est arrêtée dans le tome précédent. Je ne vais pas vous en dire plus pour ne pas vous spoiler.
Mac est profondément touchée par les évènement survenus à la fin du tome 3. Dans la première partie du livre Mac vie dans le moment présent, elle est animal. Et dans la seconde partie elle ,deviens plus, plus primitive, elle essaie de faire au mieux pour aider le plus grand nombre. Dans le premier tome nous avions une Mac 1.0, dans le deuxième une Mac 2.0, dans le troisième une Mac 3.0, et dans celui-ci deviens Mac 4.0.
Barrons, ah Barrons (smiley qui rêve de lui), il en dévoile encore un peu plus sur lui. Il montre d'autre facettes de lui même.

Le style reste assez desciptif, mais j'ai pas l'impression qu'ils alourdissent vraiment le roman, il y apportent un petit quelque chose qui fait qu'on entre vraiment dans l'histoire, et qu'on à du mal à en sortir. Pour tout vous dire le livre fait 598 pages et la partie roman en fait 547 (aprés on à l'avis aux lecteur, le glossaire, quelques recetes à base de chair unseelie, et les remerciement) et je l'ai lu en 2,5 jour.
A noter les quelques chapitres, au début du roman où nous suivons Dani au lieu de Mac.

Citation:
"... Vlane, à qui un jour je ferai cadeau de ma virginité" et quelques pages plus loin "Un jour je donnerai ma virginité à Barrons"
Dani

"Ah, Mac s'écrie-t-il avec un rire aussi froid et aussi sombre que l'endroit dont je rêve, un jour tu te demandera s'il est possible de me détester encore plus."
Barrons

mercredi 17 août 2011

Fièvre faë (Les chroniques de MacKayla Lane T 3) Karen Marie Monning


En venant à Dublin, j'avais deux buts. Découvrir qui a tué ma soeur et venger celle-ci. Vous voyez avec quelle facilité je le dis, à présent ? Je veux la vengeance. Une vengeance avec un grand V. Une vengeance avec des os brisés et des flots de sang. Je serais sans doute morte peu de temps après avoir posé mes jolis petits petons aux ongles vernis sur le sol irlandais, si je n'avais pas poussé la porte de la librairie de Jéricho Barrons. J'ignore qui il est, ou plutôt, ce qu'il est. Ce que je sais, c'est qu'il détient des connaissances dont j'ai besoin et que je possède quelque chose qu'il désire, ce qui fait de nous des alliés. Et le dernier espoir de l'humanité... 

COUP DE COEUR

Donc on retrouve Mac au moment exact de la fin du tome 2. Ces évènement vont avoir d'énormes conséquences sur Mac et sur son comportement face à son entourage: A qui peut elle faire confiance? Qui sont ses vrai alliés? Et pourquoi? Comment arrêter le Haut Seigneur et empêcher les Unseelies d'envahir le monde? ...

Bref dans ce tome on apprend pas mal de chose (dans l'ordre en fonction du nombre et de la qualité de(s) celle(s)-ci, de l'importance pour le récit et de mon attachement au personnage ou objet qu'elle concerne): le sinsar dubh, les unseelies (et plus précisément certaines caste de la race), Barrons, certains objet de pouvoir...

Mac évolue encore, les évènements survenus à la fin de Fièvre rouge et au début de Fièvre faë continuent et accélèrent le changement amorcé dés le début de la série.
Barrons reste encore et toujours et bien Barrons.

La première phrase du roman: "Je donnerai ma vie pour lui." dernière phrase (hors glossaire et la "Note aux lecteurs" de KMM) "Je donnerai ma vie pour lui.", j'aime bien ce genre de pont entre les début et fin dans un livre.
Petit mot sur la fin: une fin comme ça c'est pas possible tellement c'est horrible, atroce, choquant, indécent, odieux, scandaleux... pour le lecteur. Pour tout vous dire j'ai terminer ce tome en plein milieux de la nuit, et bien je n'ai pas pu m'en empêcher j'ai pris le tome 4 et j'ai commencé la suite. Alors petite dédicace à Sugarkoma qui m'a dit dans un commantaire "Tu vas avoir du mal à ne pas enchainer directement avec Fièvre Fatale. Perso, comme je ne l'ai pas dans ma PAL, c'est plus facile de résister ^^ ". Et j'en profite pour vous dire, que les commentaires que vous publiez sur mon blog me font vraiment très plaisir, mais que je n'arrive pas à y répondre, blogger me dit que je n'ai pas le droit de publier de commentaires sur ce blog (et tout les autres blog hébergés par blogger à ma connaissance). Voilà c'est dit.

Citation:
"-Tu sors avec quelqu'un?
-Non.
-Est-ce qu'il y a un homme dans ton entourage qui te plais?
-Non.
-Tu mens."
Mac et Christian MacKeltat

"Tout comme les pick-up haut sur roue du Sud profond, les Harley sont une ode à la testostérone. Plus elles sont grandes et bruyantes, mieux cela vaux. Dans le sud les camionnettes et les motos rugissent Regardez-moi donc! Wouhou! Je suis énorme, bruyante, sauvage... Je ne vous fait pas envie.
La Harley de Barrons ne rugissait pas. Elle ne ronronnait même pas. Tel un prédateur de chrome de d'ébène, elle fendait la nuit sans bruit, tout en murmurant Je suis grande, silencieuse et impeccable... Priez pour ne pas me faire envie."
Mac

samedi 9 juillet 2011

Fièvre rouge (Les Chroniques de MacKayla Lane T2) Karen Marie Moning


Je suis une sidhe-seer, une humaine capable de voir les faës, ces effrayantes créatures d'un autre monde installées parmi nous depuis des millénaires et dissimulées sous des voiles d'illusion. Mon univers a commencé à se fendiller à la mort de ma soeur, et j'ai l'impression que, depuis, il n'en finit plus de s'effondrer. Je ne parle pas seulement de mon petit monde personnel : il s'agit aussi du vôtre.
Les murs entre humains et faës sont en train de s'écrouler.
Et je suis la seule à pouvoir nous sauver. 

Je ne sais pas si vous vous rappelez, mais le premier tome m'avait assez moyennement convaincu, mais celui là, à été un vrai coup de coeur. Principalement parce que les détails qui m'avaient gênés dans Fièvre Noire sont de moins en moins présent.


Attention mon avis peut contenir des spoiler, sur le tome 1.

A la fin du tome 1, on avait quitter une Mac blessée, suite à son affrontement avec le meurtrier de sa soeur, le Haut Seigneur. Et elle venait de ressentir, pour la première fois, la présence du Sinsar Dubh.
Et bien, ici, on retrouve Mac quelques jours plus tard. Elle vie toujours dans la librairie de Barrons.

Mac évolue beaucoup dans ce tome, on sent qu'elle change. En effet, dans le tome précédant, elle était encore la petite fille, légèrement superficielle, très coquette, et on sentait encore les réminiscences de la fille insouciante qu'elle était avant la mort d'Alina. Et bien là, elle change, elle est à la frontière entre la "Glam Mac", celle qu'elle à toujours été, et la "Primitive Mac" celle qu'elle vas devenir.
Barrons reste Barrons, même s'il commence à montrer une certaine jalousie, envers V'lane surtout. Il se dévoile un peu plus, mais il reste quelqu'un de très mystérieux, secret, égal à lui même quoi.
Et Mac et Barrons se rapprochent un peu, ils partagent une certaine alchimie, et la tension sexuelle entre eux se précise.

Les désciptions sur les tenues de Mac, que j'avais trouvées biens trop nombreuses et précises, sont déjà beaucoup plus rares, et ne servent ici qu'a montrer le contraste entre la Mac d'avant et celle qu'elle est entrain de devenir.
De plus certains passages (je vous dirais pas lesquels, pour pas vous spoiler) sont décrit avec justesse, ces scènes sont très dures, et il est très difficile pour un auteur de les montrer avec sincérité et authenticité.
Le rythme s'accélère. Karen Marie Monning ne nous (à nous lecteur, mais aussi et surtout à Mac, qui est la narratrice du récit) laisse que peu de répit.

Citations:
"En moi apparaissait une autre Mac, dont je n'avait jamais soupçonnée l'existence. Elle n'aimait pas les fanfreluches, ne se pomponnait pas et ne sortait jamais en boite. Ses préoccupations étaient aux antipodes des miennes, et je priais pour qu'elle ne prenne pas un jour le commandement des opérations.
C'était une créature sauvage et primitive, assoiffée de sang.
Et elle détestait le rose."
Mac

"-Peut être qu'un jour, mademoiselle Lane, vous embrasserez un homme sans qui vous ne pourrez plus respirer, et vous vous apercevrez que ce n'est pas si important que cela.
-C'est ça, et un jour mon prince viendra.
-Il n'en sera peut être pas un, les hommes le sont rarement."
Barrons et Mac

jeudi 9 juin 2011

Fièvre noire (Les chroniques de MacKayla Lane T 1) Karen Marie Monning


Ma philosophie tient en quelques mots : si personne n'essaie de me tuer, c'est une bonne journée. Autant vous le dire, ça ne va pas très fort, depuis quelque temps. Depuis la chute des murs qui séparaient les hommes des faës. Pour moi, un bon faë est un faë mort. Seulement, les faës Seelie sont moins dangereux que les Unseelie. Ils ne nous abattent pas à vue. Ils préfèrent nous garder pour... le sexe.
Au fait, je m'appelle MacKayla Lane. Mac pour les intimes. Je suis une sidhe-seer.
La bonne nouvelle : nous sommes nombreux.
La mauvaise : nous sommes le dernier rempart contre le chaos.

Note : 6.5 / 10

MacKayla, Mac, perd sa soeur dans des circonsances horribles. En effet, celle-ci vient d'être assacinée à l'autre bout du monde, et l'enquette n'avance pas. Mac dècide donc d'aller elle même en Irlande, à Dublin plus préciément, pour lever elle même le voile sur cette affaire, et respecer les dernières volontés de sa soeur, qui lui à laisser un message peu avant de mourrir ou elle lui parle de trahison, et d'un certain shi-sadoo.
C'est la bas qu'elle aprend l'existance des faës Seelies et Unseelies, de la lumière et des ténèbres. Elle prend aussi conscience qu'elle n'est pas un humain comme les autres, c'est une Sidhe-seer, un humain imperméable aux pouvoirs magiques des faës.
C'est dans sa recherche du shi-sadoo, réèlement appelé Sinsar Dubh, elle fait la connaissance de Jericho Barrons, un homme séduisant et mystérieux, propiètaire d'un librairie dans le cartier fantome.

Mac est une jolie jeune femme, coquette, de 22 ans dont le petit univers tanquille s'écroule du jour au lendemain, avec la perte de sa soeur. Elle peut sembler superficielle (je pense aux multiples desciptions sur ses tenues, ses vernis à ongles...), mais en réalité ne l'est pas tellement (là, je pense au fait qu'elle aime tellement sa soeur qu'elle à tout plaquer pour respecter ses dernières volontés, et déterminer qui l'a assaciné).
Jéricho Barrons est trop beau, ténébreux, fort...., bref il est parfait. Il mérite à lui seul qu'on lise cette série.

La naration peut sembler un peu lourde à certains moment, en raison de passages descriptifs un peu long. Ca nous est égal de savoir que Mac porte un peit haut parme, avec une jupe de la même couleur, des sandales argentées et la ceinture assortie, et il n'est pas nécessaire de repeter 56 fois que le nom de son vernis préféré est Myrtille Glacée, une fois suffie largement.
En revanche j'ai adoré la complexité de l'univers créé par Karen Marie Monning, avec toutes ses créatures, qui ont chacunes leurs caractéristiques, avec  les Zones Fantomes, Objet de Pouvoirs (OP)...

Bref, c'est un livre à lire, que j'ai bien aimer malgrés tout, et qui mérite emplement qu'on le lise, je continurais même la suite avec un grand entousiasme.

Citations :
"Barrons venait de pose le regard le plus brulant, le plus sensuel, le plus sexuelement expicite que j'ai jamais vu... et j'étais à peu prés certaine qu'il ne s'en était même pas rendu compte."
Mac